27
Avril 2018 Culture
Retour
Danse contemporaine tout public. Durée : 50 minutes (+ 1ère partie)

Spectacle proposé dans le cadre du festival Danse au fil d'avril de la Fédération des Oeuvres Laïques de la Drôme (F.O.L. 26)

Production : Cie Instabili / Auteur et metteur en scène : Véronique Pauton / Interprétation : Lise Pauton et Virginie Quigneaux / Création lumière et régie : Carole Van Bellegem / Composition : Léo Plastaga / Costumes : Françoise Chastenet
.

Le spectacle
À la croisée de la danse contemporaine et de l’équilibre-contorsion, «Barricades Invisibles» initie une recherche chorégraphique, où force et poésie se côtoient.
Une ode à la vie, tissée par la torsion et la tension des corps entrelacés dans un déséquilibre permanent, et par un travail exigeant sur l’interprétation des gestes et des expressions du visage. Si bien que ce spectacle revêt une portée universelle, une lecture plurielle, dans laquelle les spectateurs pourront lire soit la résilience humaine face aux drames de la vie, soit un monde fantastique peuplé de diverses créatures imaginaires se liant et se déliant.

.

La compagnie
La compagnie Instabili est créée en 2012, autour de la rencontre de Véronique Pauton (arts du cirque) et de Virginie Quigneaux (danse contemporaine). Elle développe une écriture de corps originale, détachée de la technique, au service d’une recherche sur l’instabilité.


Tarif : 12 € / Tarif réduit : 9 € / - 12 ans : 5€ 

En 1ère partie sera présenté le spectacle amateur «Rondeando» (30 minutes). 


"Rondeando" est un projet chorégraphique né d'un travail avec les adhérents de l'association Tangolive, dans laquelle Denise Pitruzzello intervient en tant que professeur de Tango argentin depuis l'été 2015. "Rondeando" est une écriture chorégraphique du tango argentin dans une forme contemporaine, où son langage, ses codes sont au service d'une expression.

Le sujet c'est la dictature en Argentine de 1976 à 83, et plus précisément le combat de femmes, grands-mères, qui cherchent leurs petits-enfants disparus pendant la dictature ("Les folles de Mai" / "Las Abuelas de la Plaza de Mayo"). La ronde est un symbole fort de leur mouvement associatif, parce que sous la dictature il est interdit de rester immobile, il faut circuler... Disparus ? Non, les parents ont été tués parce qu'ils étaient subversifs. Les petits enfants ont été remis en tant que trophées de guerre à des militaires ne pouvant avoir d'enfants.


Ce projet encadré par 3 professionnels du spectacle vivant, metteur en scène, chorégraphe et photographe cherche à questionner par la danse, par ce rapport au corps, le DUEL, le mal et le bien...mais la question qui les rassemble autour de ce projet est dans la lignée de ce que l'auteur, metteur en scène Wadji Mouawad (entre autres) a déjà soulevé : comment sort-on de ça ? comment sort-on de l'horreur ?

.

Impossible de récupérer l'image. Veuillez en séléctionner une nouvelle.